dimanche 27 septembre 2020

"Les bannis et les proscrits - Tome 4 - Le portail de la sorcière" de James Clemens


Nationalité de l'auteur : Américaine
Editions : Bragelonne (2008)
587 pages
Genre : Fantasy
Note : 9/10

Résumé/4ème de couverture
Elena et son armée de hors-la-loi ont vaincu les suppôts du mal qui occupaient l'île de Val'loa et déverrouillé les secrets mystiques du Journal Sanglant. Mais durant la bataille, l'infâme Seigneur Noir a mis en place les portails du Weir auxquels il puise l'essentiel de son pouvoir. Pour les trouver et les détruire, les alliés d'Elena embarquent pour de dangereuses destinations à bord de vaisseaux aériens. Sur la route, les jumeaux Mogweed et Fardale espèrent briser la malédiction qui les a privés de leur don de métamorphose, et Joach, le frère d'Elena, doit échapper aux requins des sables pour devenir maître de son pouvoir élémental, tandis que d'autres compagnons filent vers le fabuleux royaume elfique de Fort-Tempête. Aucun des rebelles ne reviendra indemne, certains n'en reviendront même pas du tout. Elena elle-même, dans l'antre de son ennemi juré, parviendra-t-elle à découvrir l'identité du Seigneur Noir ?

Mon avis
Un quatrième tome palpitant qui accélère les évènements qui vont mener à l'affrontement final et qui lève le voile sur pas mal d'éléments-clés. On ne s'ennuie pas une seconde, grâce aux rebondissements et au suspens qui nous tient en haleine jusqu'au bout. L'écriture est toujours aussi fluide, prenante. Les personnages sont de plus en plus attachants, et on se surprend à être triste quand certains meurent. Il est vrai qu'il est parfois difficile de s'y retrouver dans les descriptions et explications ; mais il n'en reste pas moins que cette saga est vraiment excellente.

Citation/extrait
"Kesla se laissa aller à son étreinte. La tueuse froide fondit comme la neige sous le soleil du désert ; laissant place à la femme qu'elle était."
"Pour elle, pour eux tous, la pousse de koa'kona représentait quelque chose d'encore plus précieux que tout le reste. L'espoir."
"Pour moi, tu seras toujours une femme. (Il se détourna.) Une femme que j'aime."


A très bientôt !

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