Nationalité de l'auteur : Française
Editions : Pocket (2020)
139 pages
Genre : Récit, Témoignage
Note : 8/10
Résumé/4ème de couverture
"J'ai attendu de nous savoir solides pour reprendre la plume. J'ai alors tenté de consigner les mues, cette écume du changement, depuis la perte de tous les repères jusqu' à cet instant où le ciel se dégage, presque d'un coup. C'est là que vient la vie, après."
Antoine Leiris a perdu sa femme le 13 novembre 2015 au Bataclan. Vous n'aurez pas ma haine, son précédent livre, racontait les jours d'après, pour lui et son fils Melvil. Quatre ans plus tard, tous deux ont changé et grandi. Antoine Leiris n'est plus le même homme, ni le même père ; Melvil est devenu un petit garçon. C'est ce voyage que raconte La Vie, après. Celui d'un homme et de son fils qui ont poursuivi, malgré tout, leur chemin vers la vie. Un récit affectif et lumineux, qui dit combien l' écriture est source et témoin du vivant.
Mon avis
Après le décès de sa femme en 2015, lors des attentats du Bataclan et de Paris, l'auteur reprend la plume pour nous raconter sa reconstruction et celle de son fils, avec l'omniprésence d'Hélène dans les gestes du quotidien. L'auteur nous y raconte ses tâtonnements de père solo ; l'utilisation de la première personne permet à l'auteur de renouer avec le fil de sa vie. Ce récit court est empli d'émotions ; il se lit très vite ; et j'ai beaucoup aimé le côté pudique et touchant de ce récit, et la dignité de l'auteur face à cette reconstruction. Les mots choisis par l'auteur - plein d'intelligence sensible et d'un amour paternel inconditionnel - résonnent en n'importe quel parent.
Citation/extrait
"Tout oublier ça veut dire que tu laisses tous les mauvais souvenirs de côté, que tu n'y penses plus..."
"Hélène est le crayon que je tiens, l'encre qui coule à l'intérieur, les touches de mon clavier, les mots qui apparaissent sur l'écran."
A très bientôt !
Editions : Pocket (2020)
139 pages
Genre : Récit, Témoignage
Note : 8/10
Résumé/4ème de couverture
"J'ai attendu de nous savoir solides pour reprendre la plume. J'ai alors tenté de consigner les mues, cette écume du changement, depuis la perte de tous les repères jusqu' à cet instant où le ciel se dégage, presque d'un coup. C'est là que vient la vie, après."
Antoine Leiris a perdu sa femme le 13 novembre 2015 au Bataclan. Vous n'aurez pas ma haine, son précédent livre, racontait les jours d'après, pour lui et son fils Melvil. Quatre ans plus tard, tous deux ont changé et grandi. Antoine Leiris n'est plus le même homme, ni le même père ; Melvil est devenu un petit garçon. C'est ce voyage que raconte La Vie, après. Celui d'un homme et de son fils qui ont poursuivi, malgré tout, leur chemin vers la vie. Un récit affectif et lumineux, qui dit combien l' écriture est source et témoin du vivant.
Mon avis
Après le décès de sa femme en 2015, lors des attentats du Bataclan et de Paris, l'auteur reprend la plume pour nous raconter sa reconstruction et celle de son fils, avec l'omniprésence d'Hélène dans les gestes du quotidien. L'auteur nous y raconte ses tâtonnements de père solo ; l'utilisation de la première personne permet à l'auteur de renouer avec le fil de sa vie. Ce récit court est empli d'émotions ; il se lit très vite ; et j'ai beaucoup aimé le côté pudique et touchant de ce récit, et la dignité de l'auteur face à cette reconstruction. Les mots choisis par l'auteur - plein d'intelligence sensible et d'un amour paternel inconditionnel - résonnent en n'importe quel parent.
Citation/extrait
"Tout oublier ça veut dire que tu laisses tous les mauvais souvenirs de côté, que tu n'y penses plus..."
"Hélène est le crayon que je tiens, l'encre qui coule à l'intérieur, les touches de mon clavier, les mots qui apparaissent sur l'écran."
A très bientôt !
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